Alors que notre DPOY national (4ème titre, record de Wallace et Mutombo égalé) était absent pour le Game 2 à Denver, voici ce que Draymond Green et Gilbert Arenas ont déclaré à ce sujet.
Draymond Green : "Je suis père de quatre enfants. J'adore mes enfants et j'aime ma femme, mais en ce qui me concerne, si j'ai un match de playoffs à disputer, elle va devoir faire sans moi pendant quelques heures.
Tout d'abord, félicitations à lui. À chaque fois qu'un nouveau-né débarque dans ce monde, c'est quelque chose de spécial et, comme je l'ai dit, quelque chose que je ne tiens pas du tout pour acquis en tant que père de quatre enfants. Cela dit, j'essaie aussi de ne pas tenir ma carrière pour acquise. Donc quand j'ai entendu que Rudy n'allait pas jouer, je me suis dit 'Wow'. Pour moi, ça donnait presque l'impression qu'il profitait de la situation. Parce que la première question que je me suis posé, c'est 'S'ils avaient perdu le Game 1 et qu'ils pouvaient se retrouver à 0-2 dans la série, est-ce que son approche aurait été la même?' "
Ce père de famille semble donc exemplaire et impliqué tout autant que sa femme dans l'éducation de ses enfants (non). Bon en vrai j'extrapole, on ne peut pas juger la paternité de Green à travers une citation. Mais pour ce qui est des playoffs, Rudy Gobert n'a jamais laissé tombé ses coéquipiers en étant suspendu en pleine série si l'on va par là.
Et en parlant du Game 2, je suis absolument convaincu que c'est grâce à Rudy que KAT (et la défense globale des Wolves) a À CE POINT progressé en défense. D'ailleurs, c'est pas moi qui le dis mais son coach, Chris Finch.
Bébert Arenaze maintenant.
Gilbert Arenas : "C'est un bébé frère, il sera encore là quand tu reviendras. Je veux dire, sérieusement ? Peu importe ce que tu veux faire avec le bébé, il sera en train de dormir. (ll ironise). Oh il va vouloir son contact peau contre peau. ll va vouloir son lait."
Déjà la citation est plus courte, car trois phrases complexes font surchauffer l'intérieur de son crâne (je n'ose supposer qu'il contienne un cerveau). Ensuite, comme le disait Shaï, j'y vois encore une sorte de masculinité toxique (les larmes et la douceur sont interdites dans le monde de Bébert).
Si Stephen Curry avait manqué ce même match pour accompagner Ayesha à la maternité, je suis certain que ce brave abruti d'Arenas l'aurait encensé comme un père de famille idéal.
Bref, encore un délit de sale gueule pour Rudy. Pourtant on ne peut pas lui reprocher grand-chose de grave (quelques déclarations maladroites comme il y en a chaque jour en NBA) sur ni en dehors des terrains.
Félicitations Rudy Gobert, pour la naissance de ton premier enfant, ta saison jusqu'ici parfaite et ton 4ème DPOY !
Je suis aussi un daron et pour rien au monde je n'aurai raté la naissance de ma fille et abandonné ma femme... Bref.
Un putain de joueur mouais un joueur kiffant ok mais bon il est devenu tellement con,sexiste ,raciste que sa carrière est loin de le sauver..
Ceci dit je suis assez d'accord avec tes deux premières affirmations