Don Nelson fête ses 83 ans aujourd'hui et c'est l'occasion de de revenir sur ces anecdotes lâchées par Stephen Jackson dans le podcast de Michael Rapaport il y a quelques années. L'apôtre du small ball savait bien partager les délires de ses joueurs. Y compris quand il s’agissait de tise ou de marijuana.
Jax a commencé en racontant dans le détail comment Don Nelson, un de ses amis, Baron Davis et lui ont écoulé deux ou trois bouteilles de whisky 12 ans d’âge lors d’une nuit précédent la reprise de la saison.
Don Nelson heureux de pouvoir fumer de la weed avec ses joueurs
Mieux, Stephen Jackson a poursuivi en expliquant comment leur coach avait l’air visiblement très content que Baron Davis et lui puissent fumer de l’herbe tranquillement après leur dernier test anti-dopage de la saison. Car il faut savoir que jusqu’au précédent CBA, les joueurs n’avaient qu’un nombre limité par saison de contrôles antidopage. Après le dernier, il leur était donc possible de prendre des drogues ou produits dopants sans aucun risque.
« Personne ne connaît cette histoire. Nous sommes dans l’Utah et les contrôleurs sont là pour qu’on fasse notre dernier test et qu’on puisse fumer.
Avec Don Nelson, on parlait de weed tout le temps, il était à l’aise avec le fait de parler de ça. On a notre dernier test là-bas. Donc Baron et moi on sort du vestiaire en hurlant, excités d’avoir ce formulaire disant qu’on pourrait fumer le reste de la saison.
Et là, Don Nelson s'est mis à nous faire des high fives genre ‘Ouais on peut fumer maintenant !’ C’était cool, le fait qu’il sache ce qui se passait en dehors des terrains. On appréciait. C’est pour ça que nous étions une bonne équipe. »
C’est sûr que quand le coach est content de pouvoir à nouveau bédave avec ses joueurs, on peut parler de bonne alchimie.
Stephen Jackson high avant les matches
Stephen Jackson a aussi livré quelque détails sur son niveau quand il avait fumé juste avant les matches.
« Je ne peux parler que pour moi. Moi, personnellement, j’ai parfois fumé beaucoup avant les matches et j’étais quand même capable d’être productif.
Je dois dire la vérité. Il y a eu quelques matches avant lesquels j’ai fumé et où j’ai été très bon. Mais il y a eu quelques matches avant lesquels j’ai fumé et où j’étais sur le banc au bout de trois minutes en mode ‘s’il te plait, calme-toi, faut que tu redescendes’.
Il y a eu trois fois où j’ai tiré au-dessus de la planche et je me suis dit ‘faut que je redescende’. »
Qu’un coach accepte ce genre de choses explique pourquoi Stephen Jackson kiffait tant Don Nelson. On voit mal Gregg Popovich heureux de pouvoir enfin fumer un joint avec Jax, Tim Duncan et Manu Ginobili….