Bryan Colangelo a démenti la véracité de ces informations pourtant rassemblées sur plusieurs années par le journaliste, reconnaissant simplement qu'un seul des comptes lui appartenait. Les autres, jamais mentionnés par Detrick lors de son entretien avec un représentant de la franchise par téléphone, ont subitement effacé certaines informations sensibles et cessé de suivre d'autres comptes pouvant incriminer Colangelo, comme ceux de son fils et de certains de ses coéquipiers à la fac.Three of the five twitter accounts referenced in the @ringer report (@s_bonhams, @honesta34197118, @AlVic40117560) have a recovery phone number that end in 91, suggesting they were run by the same individual. (h/t to @OhWowHmm).
— Derek Bodner (@DerekBodnerNBA) 30 mai 2018
Bon courage pour attirer des stars...
Sur le plan sportif, il s'agit d'un terrible coup de bambou également. En quête de grands noms lors de la prochaine free agency, Philadelphie aura sans doute du mal à convaincre un LeBron James ou un Paul George qu'une saine atmosphère de travail règne autour des Sixers. Et qu'en sera-t-il du climat entre Bryan Colangelo et les joueurs actuels comme Joel Embiid si ce dernier et ses camarades ne croient pas en l'honnêteté de leur patron ? Embiid a réagi dans des propos relayés par Adrian Wojnarowski d'ESPN."Je lui ai parlé et il m'a dit qu'il n'avait pas dit ces choses-là. Il m'a parlé pour démentir cette histoire. Je me dois de le croire jusqu'à ce que l'on me prouve le contraire. Cela dit, si c'est vrai, ce serait vraiment mauvais".
Joel Embiid est l'une des cibles principales de l'un des comptes en question. Au moment où il revenait progressivement de blessure, l'un de messages stipulait notamment : "Joel n'est pas le futur de la franchise. Donc peu importe s'il n'est pas à 100%, exploitons-le..."Embiid is loving this. pic.twitter.com/kwjK9sEkiQ
— Pascal Giberné (@PascalGibBN) 30 mai 2018