« On se détestait. Nos rencontres étaient très physiques. Tant qu’il n’y avait pas de sang, il n’y avait pas de faute », remarquait Ewing dans ‘The Last Dance’.
Le documentaire sur les Bulls 98 permet de se replonger à une époque où les Knicks avaient une formation besogneuse, dure au mal, combative et… ambitieuse. Ça permet si lointain maintenant. Avec son pivot All-Star mais aussi John Starks, petit mais teigneux, Anthony Mason, Charles Oakley ou Charles Smith, les troupes de Gotham étaient armées pour partir en guerre. Malgré ça, les Knicks n’ont pas réussi à sortir Michael Jordan. Ils ne sont pas passés loin, en 1993. Ils menaient 2-0 en finales de Conférence. Pour finalement perdre en six manches. Ils ont atteint les finales NBA l’année d’après, avoir éliminé les Bulls. Mais Jojo était déjà parti. Et les Rockets d’Hakeem Olajuwon ont pris le dessus. Pas de bagues, mais tout de même de sacrés bons souvenirs pour les supporteurs de la grosse pomme.« Pas de sang, pas de faute », les Knicks étaient des bouchers dans les 90’s
Retour sur une époque où les joueurs des New York Knicks savaient se faire respecter et inspiraient même la peur auprès de leurs adversaires.
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