« Il y avait ce terrain à Inglewood. J’y allais tous les samedis. Il n’y avait que des Mexicains et j’étais le seul noir. Jouer contre ces Mexicains… ce sont mes gars. J’y allais et je me prenais des fautes. Ils n’arrêtaient pas de faire faute. Je devais être dur. Je me suis dit que j’allais y retourner tous les samedis. En fait, ils ne savaient pas vraiment jouer au basket, ils faisaient juste des fautes », raconte l’ancien All-Star.De quoi endurcir le jeune Paul Pierce. Ça explique aussi pourquoi il est devenu cet ailier coriace, talentueux et clutch par la suite. Cet homme poignardé dix-sept fois quelques semaines avant le début de la saison régulière en 2000 mais qui a tout de même joué tous les matches cette année-là. Un vrai bonhomme. Le jour où Paul Pierce a failli être assassiné
Comment Paul Pierce a appris à jouer dur en affrontant… des Mexicains
Une anecdote cocasse et intéressante sur la vie de Paul Pierce et notamment son enfance dans les quartiers difficiles d’Inglewood, à Los Angeles.
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