"Lorsque je l'ai finalement rencontré, j'ai réalisé deux choses : il parle bien anglais, et pas seulement, il a aussi un extraordinaire sens de l'humour. J'ai adoré voir sa personnalité ressortir de plus en plus à travaers les années alors qu'ils était de plus en plus à l'aise à Houston. (...) Parfois il fait juste semblant de ne pas parler l'anglais -- il le fait encore aujourd'hui !Je me souviens lorsqu'il est venu à mon mariage en 2006. Ma famille et mes amis étaient tellement excités et ils voulaient juste prendre des photos et avoir des autographes, et il prétendait qu'il ne pouvait pas les comprendre. Je n'avais plus qu'à m'asseoir derrière et rire." En dehors du terrain, Yao Ming est une personnalité fascinante, mais sur le terrain, le numéro 1 de la draft 2002 est tout aussi crédible :
"C'est pour cela que l'entrée de Yao au Hall of Fame est si méritée. Ses skills pour un homme de sa taille étaient juste incroyables. Il pouvait tout faire. Il pouvait post up, scorer avec n'importe quelle main, prendre un jump shot, il avait une panoplie de moves. Il pouvait bloquer les tirs. Il passait tellement bien et c'est tellement rare pour un gars de sa taille. Je n'ai jamais joué avec un big man de son calibre."