"On doit essayer de faire avec ça. C'est compliqué. Ils veulent parler après chaque coup de sifflet et ont des conversations pour manipuler ce qui va arriver mais on ne peut pas se préoccuper de ça", lâche Jamal Murray.Ce n'est pas la première fois qu'il est question d'arbitrage, de favoritisme et de Lakers dans la même phrase dans ces playoffs. Portland aussi s'était plaint du traitement de faveur accordé à la bande à LeBron. Mais Mike Malone ne voulait pas retenir que ça même si ce chiffre de 24 lancers en 12 minutes l'a largement interpellé.
"24, c'est extrêmement élevé. On nous a sifflé 16 fautes dans un seul quart-temps. Et en plus de ça, on a perdu 7 ballons. Ça a alimenté leur break", a lui souligné le coach de Denver qui a également admis qu'il allait regarder le match pour "voir les fautes qui ont été sifflées, pourquoi elles l'ont été, et auraient dû t-elles l'être".Sans crier à la théorie du complot, il faut se rappeler que la NBA est dans le rouge financièrement avec la crise que le monde traverse. Et voir une finale NBA entre Denver et Miami se servira pas vraiment ses intérêts financiers et télévisuels.