Le Mook REVERSE, c’est quoi ?

Vous le savez peut-être désormais. REVERSE sonne sa révolution et devient un Mook. Mais, le Mook REVERSE, ce sera quoi au fait ?

Le Mook REVERSE, c’est quoi ?
Vous le savez peut-être désormais. Après plus de 13 ans, REVERSE sort des kiosques pour prendre son indépendance vis-à-vis d’un système de distribution de la presse qui n’a plus aucun sens. Désormais, il sera disponible uniquement en commande sur le net et, si notre campagne de financement participatif se passe excellemment bien grâce à votre soutien, le combat continue et on compte sur vous pour faire savoir à tous vos potes que REVERSE ne sera désormais dispo que par abonnement et qu’ils doivent impérativement s’abonner (et c'est ici que ça se passe) ! Autre révolution, le magazine change de format et devient un Mook. Mais au fait, c’est quoi le Mook REVERSE ? - 220 pages - Un bel ouvrage de 21 cm sur 28 cm, et bien épais (comme Titi Normandie) - Deux à quatre numéros par an. Et un vrai événement pour la communauté basket à chaque fois - 16,90 euros par numéro, mais seulement 15 (avec des lots de dingue) si vous passez par notre campagne de financement participatif, et même 13,75 € (abonnement de 4 numéros) ou 12,50 € (10 numéros). - Un mix entre un livre et un magazine - Un ouvrage pour les vrais amoureux de basket - Aller plus loin grâce à ce nouveau format : plus d’analyse, plus d’esthétique, plus d’humour, plus de fond, plus de tout, quoi… Le mag REVERSE, mais en encore mieux. Un peu comme si vous preniez les Warriors 2016 et que vous rajoutiez Kevin Durant (pas sûr que cet exemple fasse plaisir à tout le monde…). - Une grosse thématique par numéro. Los Angeles dans le premier. - Mais aussi tout un tas d’autres sujets. Ceux soûlés par LeBron et les Lakers, vous n’avez donc aucune excuse !! - Une revue qui, comme à l’origine, a toujours voulu traiter de tous les baskets, du streetball à la NBA (pas un hasard si Mous Sonko et Amara Sy ont été nos deux premières couv’) et mettre en avant tous ses acteurs, des fans que nous sommes tous et des activistes les plus undergrounds aux plus grandes stars (pas un hasard non plus si on vous parlera autant de LeBron James ou Kobe Bryant que de Raymond Lewis ou Venice Beach). - Un recrutement de ouf à chaque numéro, histoire d’être bien raccord avec notre envie de toujours représenter tous les baskets et tous les acteurs de la communauté et de la culture basket. Oubliez les Warriors susmentionnés, oubliez LeBron et Chris Bosh qui rejoignent D-Wade et jugez plutôt. - Déjà, un rédacteur en chef exceptionnel – dans tous les sens du terme. Exceptionnel parce que ce ne sera jamais le même, mais aussi parce que ce sera systématiquement une personnalité… exceptionnelle (promis, dans le Mook, y aura pas de répétition aussi grossière). Et notre premier rédac chef, c’est Evan Fournier. Eh ouais ! On vous avait prévenu, chaque parution sera un événement pour la communauté basket. - Un comité de rédaction spécial, en guise de Dream Team. Et ouais, on ne prendra pas juste un rédac chef à chaque numéro, nos intersaisons seront très animées. Pour chaque opus, fans – célèbres ou non –, journalistes, consultants, influenceurs, joueurs, coaches, etc. intégreront notre rédaction. - Beaucoup d’amour. Le vôtre, déjà : que ce soit dans les comm’ BS, les comm’ KissKissBankBank ou sur twitter, on ne s’attendait pas à recevoir d’aussi beaux messages de soutien. Bordel, ça fait tellement chaud au cœur ! MERCI ! Et puis ce Love of The Game qu’on a tous pour ce sport magnifique. - En cumulé, 6 nuits blanches et 14 nuits de moins de 3 heures (en team stats, hein, pas par personne), y compris le weekend, parce qu’on a préféré le basket à la grasse matinée : - Un magnifique cadeau de Noël. T’es en galère, tu ne sais pas quoi mettre sur ta liste ou quoi offrir à ton frère, cousin, oncle, grand-père, fils, plan cul ou à la boulangère que tu rêves de serrer en scred mais tu sais pas comment lui dire (Sonia, si tu me lis…) ? L’abonnement au Mook est la réponse à tous tes tourments ! - Deux pommettes, une prémolaire et trois litres de sang. Ouais, les débats sont animés dans la rédac’ et contrairement à la NBA il n’y a pas eu de changements de règles chez nous dans les années 2000 : quand on a un avis, on le défend façon Bad Boys ou Knicks de la grande époque (si, si, les Knicks ont eu une grande époque !). - Quelques litres de rhum. Faut bien se réconcilier ! - Deux chasedown blocks collés à des plans Tinder parce que « Désolé, faut vraiment que j’avance sur mon papier Magic Johnson, et là j’ai l’inspiration, ça te dérange si on se voit demain soir plutôt ? ». - Une revue pour ceux pour qui « Love of the game » n’est pas une simple expression mais un mode de vie. - Pour ceux qui débarquent en cours ou au taf avec des cernes monstrueuses parce que les Hawks et les Pacers s’affrontaient à 2h du mat’ et que si, si, je te jure, c’était un match qu’il ne fallait absolument pas rater. Pour ceux qui se sont promis qu’ils feraient une sieste à la pause déj’ pour rattraper, alors qu’ils finissent par la passer à mater NBA Extra et lire le dernier CQFR. Pas grave, y a un cours d’allemand ou la réunion de 15h pour comater un peu. - Pour ceux qui peuvent débattre pendant des heures de qui est le plus fort entre Jordan et LeBron parce qu’ils savent que c’est dans la nature et dans la culture du sport de vouloir déterminer qui est le plus fort. - Pour ceux qui refusent ce débat parce que l’Art (avec un putain de grand A), ça ne se hiérarchise pas. - Pour ceux qui savent que le GOAT se joue entre ces deux-là, mais s’en contrefoutent parce que leur GOAT, c’est Magic, Bird, Kobe, Dirk, Giannis ou même JaVale et qu’ils le défendront jusqu’à la mort. - Pour les anciens qui n’avaient pas internet à l’époque, et encore moins YouTube et le League Pass, et se connectaient tous les matins à ce putain de minitel pour connaître les résultats. - Pour ceux qui étaient là dès le 1er numéro de REVERSE et pour ceux qui découvrent qu’on faisait un magazine. Rejoignez-nous les gars, vous allez voir, on va bien se marrer. - Bref, pour ceux qui aiment le basket sous toutes ses formes, qu’ils soient d’obédience Warriors ou Boulazac ; Euroleague ou LFB ; taf intense dans le gymnase ou soirée pizza-bière devant le Sunday Night Live de BeIn ; Rucker, Quai 54 ou ce terrain magique de ta ville, avec ses paniers sans filet, ce bitume qui te flingue les genoux, mais où t’as passé des hivers à déblayer la neige pour pouvoir faire ta séance de shoot et taffer ton handle, et des étés à jouer avec tes potes et pendant que ta team était sortie, à parler, vanner et débattre pendant des heures, parce que putain, le basket, c’est la vie. - Même les fans de Dwight Howard sont les bienvenus. D’ailleurs, on a l’un de ses derniers fans dans notre rédaction (et c’est même pas D12). Si ça ce n’est pas de la diversité !!! https://www.dailymotion.com/video/x6wqt8n