« Il a tout pour mener une attaque NBA moderne et jouer le pick-and-roll à haute dose, des garanties que d’autres prospects de cette Draft n’ont peut être pas. »Le pick-and-roll, de nos jours, c’est le nerf de la guerre. Les équipes veulent que leur meilleur joueur ait le ballon entre les mains. La NBA appartient aux meneurs. Aux arrières. Ou aux ailiers. Ou à Nikola Jokic. En réalité, elle appartient à tous ceux qui peuvent créer, que ce soit pour eux ou pour les autres, balle en main. Et donc souvent sur pick-and-roll. LaMelo Ball présente les caractéristiques d’une star en puissance sur cet aspect précis et très important. Il est technique. Il est grand – 2 mètres – ce qui lui permet de mieux voir le jeu sur sa position. C’est d’ailleurs l’un de ses principaux points forts. Sa vista. Son sens de la passe. Il lui manque du coffre pour finir près du cercle et de la régularité en termes d’adresse extérieure pour vraiment devenir un joueur d’élite en attaque. Mais les coaches NBA répètent souvent que le tir, justement, est le plus facile à travailler avec les jeunes prospects… s’ils acceptent de s’investir et de se mettre au boulot. L’éthique professionnelle de Zo est souvent mise en avant. Celle de Melo, fait déjà bien plus grincer des dents. Il dégage de la désinvolture. Une forme d’insolence. Ça peut faire peur. Ses interviews n’ont visiblement pas rassuré sur le personnage d’après les premiers retours. Mais les franchises peuvent croire en leur culture. En leur encadrement. Bien coaché, bien entouré, LaMelo Ball peut devenir une star. Peut-être plus que James Wiseman ou Anthony Edwards. C’est pourquoi il est perçu comme le premier choix de cette promotion. Comme le meilleur joueur. Ce premier choix, il revient aux Minnesota Timberwolves. Une équipe qui possède déjà D’Angelo Russell. Un basketteur qui ressemble à Ball sur quelques points. Mais la draft ne se repose pas sur le « fit. » Pas dans le top-cinq ! Au-delà, oui ! Mais dans le top-cinq, il faut prendre le meilleur joueur possible. Rien d’autres. Ensuite on voit. Donc même les Wolves auraient intérêt à prendre Melo. Si jamais ils n’y tiennent pas, les insiders répètent avec insistance que plusieurs formations chercheraient à récupérer ce premier choix. Justement pour prendre le plus jeune des fils de LaVar Ball. Mais alors quelles sont-elles ? Qui ferait mieux de miser sur lui ? Présentation.
Quelles sont les équipes qui ont vraiment intérêt à drafter LaMelo Ball ?
Pressenti pour être drafté en première position le 18 novembre prochain, LaMelo Ball pourrait renforcer sensiblement ces quatre franchises.
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