« Son énergie était contagieuse. C’est ce qui le rend si spécial. Il aime le jeu. Il joue avec plein de passion… les gars adorent jouer avec lui, ils sont enthousiastes quand il est là. Moi-même je coache avec plus de joie quand il est là », avouait James Borrego.
LaMelo Ball, bourreau des Bucks
Son sens de la passe est impressionnant pour un joueur de son âge (19 ans !) et sa capacité à aller finir près du cercle ou à provoquer des fautes le sépare de son frère Lonzo Ball. Ce n’est pas un slasheur d’élite mais il a la taille, le premier pas et le crossover pour au moins s’affirmer comme une star dans cette ligue.« Il rend tout le monde meilleur », assure Miles Bridges, l’un des plus grands supporteurs du bonhomme et camarade du deuxième cinq des Hornets.Ce n’est même pas comme si LaMelo Ball brillait dans le garbage time, quand tout est déjà plié. Hier soir, il était dans tous les bons coups. Notamment en fin de rencontre. Les Hornets ne menaient que de deux points à moins de trois minutes du buzzer. Mais le rookie a marqué un panier avec la faute avant d’interception une passe et de servir Devonte Graham à trois-points. Quelques instants plus tard, Charlotte se mettait à l’abri pour de bon. Excellent dans son rôle, LaMelo Ball va maintenant avoir l’occasion d’en montrer encore plus en prenant place dans le cinq majeur. En effet, Terry Rozier s’est blessé hier soir et, en son absence, le numéro devrait normalement être promu. Une nouvelle étape dans son ascension. https://www.youtube.com/watch?v=YuboSPdrUFU