"Je crois qu'à de nombreuses reprises on a tendance à se détester l'un et l'autre sur le terrain... Nous devons être en mesure de mettre ça de côté. Si tu oublies un partenaire sur une action ou si quelque chose ne va pas bien... il faut aller vers l'autre et en parler. Si je commence à discuter avec quelqu'un, ça va. Je joue juste au basket", a livré Wall.Mais le triple All-Star va plus loin dans sa réflexion, dans l'esprit de Wall, Bradley Beal a passé un cap en décrochant son nouveau contrat, il est temps de passer à l'étape supérieure sur le terrain désormais :
"Maintenant qu'il a son argent, il doit jouer et progresser dans son jeu. Je veux qu'il devienne un All-Star comme moi je le suis. Si on jouait bien en duo, comme les autres superstars qui jouent ensemble dans le même backcourt, alors parfois ce serait sa soirée, parfois ce serait la mienne, parfois ce serait même la nôtre à tous les deux. Et ces soirs-là ce sera dur de nous battre."Avant d'en rajouter une couche sur le rôle de chacun :
"Je veux que cela repose sur moi. En même temps, je veux qu'il soit à mes côtés. C'est mon bras droit. Je suis l'option A. Il est l'option A'. Il est juste là. C'est comme ça qu'on doit être dès les premiers jours du training camp. Nous devons nous comprendre et être sur la même longueur d'onde."Quitte à élargir leur complicité en dehors des terrains :
"Si nous ne sommes pas sur la même longueur d'onde et qu'on a des hauts et des bas, alors on continuera à avoir le même genre de problème. Nous devons avoir le contrôle là-dessus. Je pense que c'est en passant du temps ensemble qu'on y arrivera, en faisant ces petites choses."John Wall avait visiblement à coeur de développer son idée sur la complicité à bâtir avec son coéquipier. Une relation à surveiller comme l'huile sur le feu. Pas sûr en effet que ce genre de déclarations en public soit la meilleure des solutions pour améliorer leur entente.