« Je serais moins qu’un homme pour commenter les choses que certains commente… Sur moi ou mes coéquipiers. Nous avions un très bon groupe et il faisait partie de ce groupe lorsque nous sommes allés loin (finales NBA en 2009). S’il décide de dire des choses négatives sur quelqu’un, c’est son choix. C’est son avis. Si c’est ainsi qu’il le sent… »Avec à ses côtés Hedo Turkoglu, Rashard Lewis et Jameer Nelson, Dwight Howard a atteint les finales NBA en 2009, face aux… Lakers de Kobe Bryant. Lors de sa première opposition face à ses anciens coéquipiers, en décembre dernier, le pivot californien avait quitté le parquet sans serrer la main des joueurs du Magic. Howard et Jameer Nelson s’étaient notamment brouillés l’an dernier, quand Superman réclamait avec insistance son transfert vers une autre équipe. Nelson voit en Howard une diva, influencé par ses communicants.
« A un moment, quand va-tu (Dwight Howard) être un homme ? Quand vas-tu être maître de ta communication de manière professionnelle ? »Les retrouvailles entre les Lakers et le Magic, le 12 mars prochain, s’annoncent d’ores-et-déjà tendues.