"Il s’est mis à jurer devant les gars. C’était amusant et j'aime ça. Fred a fait du super boulot pour changer son approche. Il est plus dur. C’est bizarre parce qu’il ne veut pas vraiment nous tomber dessus, mais récemment, il a été beaucoup plus sur notre dos. Je lui ai dit que j’aimais ça. C’est ce dont on a besoin. Que ce soit à l’entraînement ou lors de nos séances vidéo, c’est ce dont on va avoir besoin", s'est réjoui Taj Gibson.Avec trois victoires de rang, les Bulls remontent, doucement mais sûrement, la pente. Mais pour Hoiberg, ce n'est pas suffisant et il n'hésite pas à critiquer le manque d'envie de ses troupes :
"À un moment, ça doit vous poser problème. Quand vous vous faites bousculer, il faut réagir. Il faut que nous nous battions, que nous frappions les premiers, parce que la plupart du temps nous sommes dans la réaction. On se fait bouger sous le panier et on se retrouve en mauvaise position pour le rebond. C’est un sport physique, un sport d’hommes. Si ça ne vous dérange pas, alors ça vous arrivera encore. Nous devons gagner ces batailles."Un discours plein d'autorité pour un Hoiberg qui a su changer sa nature pour le bien de son équipe.