« Il y avait deux choses », explique Redick. « Il ne voulait pas me payer parce que j’étais blanc et parce que j’étais un joueur de banc. »Visiblement, il a fallu que Doc Rivers se batte bec et ongle pour convaincre son proprio de bien vouloir signer JJ Redick. En gros, le rêve de Donald Sterling, c’est d’avoir une équipe composée uniquement de joueurs noirs et un public blanc à 100%. Son drame, c'est sans doute d'avoir été trop jeune pour pouvoir "profiter" pleinement de l'Amérique ségrégationniste...
Donald Sterling n’aime pas les blancs non plus… du moins dans son équipe
Visiblement, quand il s’agit de racisme, Donald Sterling n’a pas de limites.
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