« Les gens disent que c’est une rivalité (avec les Pacers), mais je ne le vois pas vraiment comme ça », a-t-il affirmé avant la rencontre. « Je pense que c’était plus une rivalité quand Darren Collison était dans l’équipe. Cette équipe-là était alors plus comme un rival, mais cette équipe (actuelle) est une excellente équipe. Ils l’ont déjà prouvé l’an dernier en atteignant les finales de la conférence Est. Peut-être que dans un an ou deux, ça pourrait devenir un rival. Mais maintenant, les gens disent que c’est un rival. (…) Je ne le vois pas comme ça pour le moment. »Un avis qui ne remet pas en cause le statut des Pacers à l’Est mais qui rappelle qu’une rivalité s’installe avant tout entre joueurs et dans la durée. Et quand les Bulls avaient sorti Indiana en 2011, il semblait que cette équipe des Pacers, avec le groupe qu’elle avait, serait un rival de Chicago pendant quelques années :
« Je pense que (à l’époque de Darren Collison) c’était plus une rivalité parce que nous savions, nous pensions qu’ils allaient avoir la même équipe pendant une longue période. Ensuite, ils ont fini par choisir une autre direction, en choisissant des joueurs différents. Et je pense que, dans les deux ans à venir, si les deux équipes conservent les mêmes effectifs, alors là ce sera devenu une rivalité. »En revanche, pour Derrick Rose, si les Chicago Bulls ont un rival, un vrai, c’est bien le Miami Heat :
« Si vous voulez dire ça, ouais ! Miami, c’est certain. »