« J’ai le sentiment que certains médias américains veulent casser des équipes et créer des fausses histoires pour faire bouger les choses. Untel est insatisfait, untel veut partir. Souvent, la vérité est à mi-chemin. Ce n’est absolument pas vrai que Zion pense qu’il n’a pas assez de bons joueurs autour de lui. J’en suis convaincu », remarque Tomas Satoransky, nouvelle recrue des Pelicans.Nous partageons l’avis du joueur tchèque. Il est clair qu’en termes de clics, en termes de produit marketing – et n’oublions jamais que la NBA, c’est D’ABORD du business – il est plus intéressant de retrouver une star aussi « bankable » que Zion Williamson au sein d’une équipe qui suscite autant d’engouement que les Knicks. Rien que le fait que d’évoquer son avenir là-bas et de spéculer sur son transfert provoque de l’audience. Ça ne veut évidemment pas dire que toutes les rumeurs sont fausses. Il faut trier les sources, soulever les exagérations, etc. Mais la vraie question, est-ce que les médias peuvent aller jusqu’à faire dérailler un processus de décision juste avec la force des mots ? Peut-être pas. Mais ils ont certainement une influence, encore plus dans ce monde hyper connecté. Après, au bout du compte, si Zion Williamson finit par quitter New Orleans un jour, ce sera peut-être aussi tout simplement par envie ou parce que les Pelicans n’auront pas su prendre les bonnes décisions pour le convaincre de rester en Louisiane. Zion Williamson, déjà des menaces de quitter les Pelicans ?
Les médias US peuvent-ils vraiment pousser Zion Williamson aux Knicks ?
Tomas Satoransky accuse certains médias américains de mettre la pagaille dans les franchises, en prenant pour exemple le cas Zion Williamson.
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