« Nous n’avions pas l’impression d’être au top, nous ne pensions pas être là où nous voulions », confie-t-il. « Donc c’est ce qu’il faut faire quand tu diriges une équipe. Tu fais ce qu’il faut pour devenir meilleur. »
Effectivement, la franchise n’a pas manqué de bouger cet été. Entre les arrivées d’Irving mais aussi de Gordon Hayward, Marcus Morris, Jayson Tatum et Aron Baynes, Boston ne peut plus se cacher.« Nous voulons que cette équille aille chercher cette 18e bannière. Nous avons besoin d’avoir les meilleurs joueurs possibles pour faire ça, et c’est ce que nous essayons de faire », affirme Wyc Grousbeck.
Même si Cleveland reste le favori à l’Est, les Celtics ont tout de même la pression. Une élimination aussi sèche que celle de la saison dernière ferait forcément tâche.