« C’est sur que pour Tony ou Boris il y’a une forme de prudence. Il existe une hiérarchie qui fait que le discours n’est pas le même selon le joueur [...] (Sur la possibilité de se retenir de sanctionner Parker) C’est très complexe. Même s’il ne fait pas ce que tu demandes, tu ne peux pas le sortir en match car tu as besoin de lui. Il faut faire attention à comment dire les choses » (Le Parisien).Et comme le rajoute le technicien, leur statut particulier rejaillit sur le reste du groupe.
« Avec les Bleus, c’est comme ailleurs, si un joueur est con il est con. Mais même de gros égos en club se montrent discrets car il y’a Tony et Boris ».Pour le moment la méthode Collet a plutôt porté ses fruits si l’on regarde les dernières campagnes des Bleus (médaille d’argent à l’Euro et participation aux JO de Londres). Reste maintenant à voir si lors de l’Euro slovène les Bleus pourront monter sur la plus haute marche du podium afin de consacrer le travail entrepris depuis plusieurs saisons.