« Cela nous a permis de travailler la zone pendant une bonne trentaine de minutes. Ce n’est jamais facile de jouer la zone pendant tout un match », a-t-il néanmoins déclaré au micro de L'Equipe. « On a fait des bonnes choses mais aussi des moins bonnes mais on en a quand même profité pour remettre certains joueurs en confiance et de partager à nouveau le temps de jeu. L’important maintenant est de nous remobiliser et de se préparer pour le match de samedi qui est le début de la deuxième étape et de la véritable aventure. »Objectif pour les Bleus : confirmer leur montée en régime pour passer l'obstacle turc en huitièmes de finales. Une opposition qui s'annonce d'un tout autre calibre pour les Français, conscients qu'aucun match ne pourra être désormais pris à légère.
« On savait qu’on allait jouer une équipe forte. Il fallait évidemment éviter d’être quatrième car les Serbes sont actuellement la meilleure équipe de l’Euro. Mais le plus important sera comment on aborde mentalement le match de samedi contre les Turcs. La Turquie est une équipe estampillée Euroligue avec des joueurs d’expérience. C’est un peu le même profil que les équipes que l’on a rencontré jusqu’ici mais en plus fort et avec plus d’atouts. »