«Pour la France, on a un billet pour le champion (licence B), un billet pour le vice-champion, soit en licence B soit pour le tour qualificatif, selon les résultats des différents championnats nationaux.»Par ailleurs, l'ASVEL a été choisie pour obtenir une wild-card sur les trois prochaines saisons :
«Ce ne fut pas simple de trouver un accord entre tout le monde en France, mais la dernière discussion que j'ai eue avec la Ligue et la Fédération française confirme que l'ASVEL sera qualifiée, en tant que champion ou finaliste, ou bien aura une wild-card pour le tour qualificatif.»Pourquoi l'ASVEL ?
«La France a besoin d'une équipe qui porte un peu le basket français.[...] On avait besoin d'un marché significatif en France. C'était Paris ou Lyon. On a discuté avec Paris il y a trois, quatre ans, avec Antoine Rigaudeau, mais rien ne s'est passé. On a donc changé d'option pour se rapprocher de Lyon et de l'ASVEL. [...] On a beaucoup de respect pour Le Mans, Nancy, Strasbourg, mais en termes de stratégie commerciale, ils ne sont peut-être pas dans la même position que l'ASVEL.»Si ces annonces étaient bien confirmées, ce serait en tout cas une belle nouvelle pour le basket français qui, s'il n'a pas de résultats sportifs, peut remercier la situation financière saine de ses clubs (à l'heure où même le CSKA Moscou, touché par la crise, reconnaît avoir quelques salaires en retard) et les droits TV payés par le groupe Canal. Reste maintenant à franchir le Top 16...