« Je n’avais jamais shooté aussi mal de ma vie. Je pense que j’ai perdu un peu confiance après le premier match, parce que je n’étais pas adroit et qu’il fallait que je m’adapte au nouveau système, aux nouveaux joueurs et tout ça », a-t-il expliqué à nba.com. « Mais à part ça, je pense que je me suis plutôt pas mal débrouillé. »[superquote pos="d"]"J’adore gagner, donc c’est ce que j’ai prévu de faire."[/superquote]Au-delà de son apport offensif, c’est surtout dans la mise en place et dans l’animation du jeu que Trey Burke devra s’affirmer si le Jazz – malgré son opération tanking évidente – veut pourvoir tirer autre chose de sa saison qu’un haut choix de draft. Dans une équipe où le joueur le plus âgé du cinq majeur devrait être Gordon Hayward (23 ans), cela fait pas mal de responsabilités à endosser. Du coup, Trey Burke passe pas mal de temps à étudier des vidéos d’autres joueurs pour voir comment progresser et il a pris deux joueurs en exemple.
« Je regarde énormément de vidéos de Tony Parker et de Chris Paul pour voir comment ils arrivent à exploiter aussi bien les actions sur pick-and-rolls. A Michigan, j’étais plutôt bon dans ce type de situations, mais maintenant j’essaie d’atteindre le niveau supérieur. »En tout cas, même ses piètres prestations offensives en ligue d’été non pas entamé son moral.
« Je vais devoir relever le plus gros défi de ma vie et je m’y suis préparé. J’ai hâte d’y être et de pouvoir avoir un impact immédiat sur le jeu de mon équipe. [...] J’adore gagner, donc c’est ce que j’ai prévu de faire. Je sais que ça peut sembler ambitieux, mais c’est mon objectif. La pression n’existe que lorsque vous vous la mettez vous-mêmes. »