« J’ai essayé mais j’ai vraiment mal », pestait-il auprès de CSN après la victoire des siens. « Je ne suis pas capable de faire les choses que je suis capable de faire habituellement. Il n’y avait donc aucune raison que je joue. »Depuis le banc, l'ancien joueur de Washington a toutefois pu apprécier la performance de son pote John Wall qui a définitivement franchi un cap pour devenir l'unique leader la franchise de la capitale fédérale. Passé tout proche du triple-double avec 29 rebonds, 12 passes et 9 rebonds, le meneur des sorciers a impressionné son ancien compagnon de vestiaire qui ne s'est pas privé d'adresser quelques amabilités au banc texan.
« John criait sur moi. Je ne sais pas ce qu’il disait », explique l'ailier. « Il joue avec émotion. C’est le genre de joueur qui se nourrit de ce genre d’énergie. Il est vraiment devenu meilleur. Son rythme est incroyable. Sa vision du jeu aussi. Je suis heureux d’avoir pu assister à sa progression. »