"Trae est un peu comme ces voitures de sport. Tu ne peux pas les conduire de la même manière sous le soleil ou lorsqu'il pleut ou neige. Et là, il conduisait incroyablement vite. Il prenait les mêmes tirs au premier quart-temps et dans le quatrième. Il ne s'adaptait pas aux conditions. C'est similaire à ce que faisait Michael Jordan quand il est arrivé en NBA. Puis il a commencé à faire confiance à ses partenaires et à gagner des titres", a expliqué Nate McMillan chez Sports Illustrated.Autre analogie intéressante faite par le coach des Hawks, celle qui concerne le parallèle obligatoire entre Trae Young et Luka Doncic, échangés le soir de la Draft.
"Les gens aiment le comparer à Luka parce qu'il sait aussi contrôler le tempo du match désormais. A la fin de leur carrière, tout ce dont on se souviendra, c'est de qui a gagné le plus de bagues. Comme Kobe Bryant et Allen Iverson. Kobe a gagné et la différence se fait là. C'est ce qui peut rendre Trae extrêmement spécial et faire de lui l'un des plus grands".On ne peut pas dire que le coach d'Atlanta ne tient pas son franchise player en haute estime. C'est peut-être l'une des clés qui permettront aux Hawks de reproduire leur superbe parcours de la saison dernière, sans vivre une première partie aussi poussive et compliquée. Trae Young, en mode troll, revient au Madison Square Garden grâce à la WWE !