« Mon boulot, c’est de ne pas laisser nos gars tomber dans ce piège car c’est facile de se faire avoir », explique le coach des Raptors. « Tu as tout le monde qui te tape dans le dos, te dis à quel point tu es génial, que tu vas gagner la série.. »
Comme tout bon fan de NBA, DeMar DeRozan a regardé la rencontre entre les Boston Celtics et les Philadelphie Sixers. À l’image des hommes de Brett Brown, il se méfie du possible manque de rythme de son équipe. Toronto n’a pas eu à jouer un Game 7 comme Cleveland face à Indiana.« Il faut se pointer et jouer notre style de jeu. Nous ne pouvons pas nous reposer sur la fatigue d’un joueur ou de l’équipe », assure l’arrière. « Nous devons nous baser sur ce qui nous a amené à ce niveau. »
Pourtant, l’aspect physique pourrait entrer en jeu. Avec un LeBron James qui ne sort jamais et un effectif des Cavaliers globalement décevant jusqu’ici, la longueur de banc des Toronto Raptors risque de représenter un atout majeur.