4. Karl Malone
Un putain de métronome, pardon my french. Le « facteur » a délivré ses performances de mammouth tout au long des années 90, quasiment sans aucun relâchement. 27 points de moyenne sur la période. All-Star chaque saison. Deux fois MVP, en 97 et 99. Deux finales, aussi, même si perdues contre les Bulls. Karl Malone était un scoreur inarrêtable. Trop puissant, trop adroit, aussi sur la ligne des lancers-francs. Ce n’est pas un hasard s’il est le deuxième meilleur marqueur de tous les temps encore aujourd’hui.
Il lui manquait ce côté flashy à son jeu pour vraiment être aduler. Sans oublier le fait que c’était clairement un… ben, un connard, hein, n’ayons pas peur des mots. Mais si on laisse ça de côté, c’était quand même un joueur plus régulier que Barkley et plus prolifique que Robinson. Le Jazz ne faisait rêver personne déjà à l’époque mais impossible de négliger le grand Karl.