"On a une opportunité de terminer. Il faut la prendre. C’est une super opportunité", déclarait Tony Parker à nos confrères de RMC. "Notre équipe est assez intelligente. Je pense qu’on a assez de vétérans pour qu’on comprenne que le game 6 est très, très important. Un game 7, c’est dur."Aujourd'hui, les San Antonio Spurs ne sont plus qu'à une petite victoire d'un nouveau titre NBA, 6 ans après leur dernier sacre de 2007. Pourtant, personne dans le vestiaire texan ne se croit déjà arrivé. Tout le monde sait qu'il faudra se relever les manches pour aller arracher une victoire sur le parquet du Heat. [superquote pos="d"]"Il n’y a même pas eu de fête après le match. On sait ce qu’on a à faire."[/superquote]
"Il n’y a même pas eu de fête après le match. On sait ce qu’on a à faire. Il y a beaucoup d’expérience dans cette équipe. On savait qu’il fallait qu’on gagne le match 5. Si on n’avait pas gagné, ça aurait très difficile de remporter deux matchs de suite à Miami. Là, on a réussi à faire une première partie du boulot."
"Maintenant, on sait qu’il faut terminer le plus vite possible. Il ne faut pas s’enflammer. Il faut qu’on joue notre jeu. Il faut qu’on reste serein, qu’on contrôle les clés de la série que sont les balles perdues, la défense, les transitions, les rebonds. On sait qu’ils sont très forts. Ils vont réagir."Sur son état de forme et sa blessure aux ischios :
"Je me suis senti bien. Mon ischio allait mieux. Ça aide (rires). J’étais bien en jambes. J’ai essayé d’être patient, de ne pas trop utiliser d’énergie en première mi-temps pour être frais en seconde mi-temps. Le fait que Manu (Ginobili) soit agressif et joue bien, ça m’a permis de faire ça, de ne pas trop utiliser d’énergie et de terminer le boulot au quatrième quart temps."Sur la perf de Danny Green et la défense de Miami :
"Il continue à être très, très chaud. Je ne comprends pas pourquoi il est toujours aussi ouvert (rires). Mais ils ne peuvent pas tout arrêter. Il faut faire des choix."Sur la défense de Boris Diaw sur LeBron James :
"Boris peut faire du bon boulot. Il a l’habitude, quand on est en équipe de France, de défendre sur Kirilenko ou des joueurs comme ça. Sur des courtes séquences, il peut faire du très bon boulot. Ça donne autre chose. Ça nous permet de ne pas tout le temps mettre Kahwi sur LeBron James, pour le reposer. Parce que ça ne doit pas être facile de défendre tout un match sur LeBron."