« Je suis passionné de management et de marketing. J'aime investir dans des clubs, comme l'ASVEL (Villeurbanne), développer des marques, découvrir le monde de l'entreprise. J'apprends beaucoup au contact de mes sponsors. Je veux avoir un rôle de manager (directeur sportif) dans un club. Mais je ne suis pas pressé d'arrêter. Je compte bien jouer encore six ou sept ans. »Comparé à Zinedine Zidane, Tony Parker pourrait connaître la même trajectoire que l'ancien numéro 10 des Bleus en s'orientant vers le coaching une fois sa carrière terminée. Mais contrairement à Zizou, désormais bras droit de Carlo Ancelotti sur le banc du Real Madrid, TP souhaite quand à lui embrasser une carrière de dirigeant tout en utilisant son image pour devenir une vitrine pour le basket français.
« Non, le métier d'entraîneur ne m'intéresse pas. Mais ca fait chaud au cœur d'être comparé à Zidane. Je veux, comme lui, devenir un ambassadeur du sport français, rester au contact de la foule, la sentir vibrer. En cela, la fondation, «Make a Wish» (Fais un voeu) que j'ai lancée il y a neuf ans, pour venir en aide aux enfants malades est importante.»