« J’ai été suffisamment chanceux pour gagner trois fois déjà », expliquait-il à ESPN.Mais, comme pour Boris Diaw, trois mois après, il est toujours pénible pour Tony Parker de repenser à ce moment. Et ça risque de durer longtemps :
« Ça va évidemment me faire mal jusqu’à ma mort. J’aurais 95 ans et en mourant, je dirai ‘Oh le match 6’. C’est la vie. »Alors, certes, gagner le championnat d’Europe n’y changera rien, mais si ça peut lui faire penser à autre chose…