« Si j’étais à Oklahoma City, nous n’aurions jamais laissé filer cette avance. Impossible. Je ne dis pas que c’est mon jeu qui aurait fait la différence mais plutôt ma présence dans le vestiaire », explique le retraité.
Kendrick Perkins a joué plusieurs saisons au Thunder, entre 2011 et 2015. Il n’a ensuite pas été conservé. C’est peut-être une façon pour lui d’exprimer sa rancœur en se donnant un rôle plus important que celui qu’il assumait réellement. Après, c’est tout à fait possible que ses coups de pression auraient pu contenir un peu Russell Westbrook ou recentrer Kevin Durant. De là à faire la différence… difficile à dire. Mais OKC est passé tout près de se qualifier pour les finales. Et sans faire injure aux Cavaliers de LeBron James, ils auraient sans doute battu Cleveland.- A lire aussi sur BasketSession : Le jour où la Dream Team 92 est tombé