« Qu’est-ce que vous faites quand on vous sert de la viande ? Vous mangez », explique Thomas Robinson à USA Today. « C’est exactement la même chose. Quand quelqu’une défend sur Aldridge, il se fait toujours manger. C’est comme ça avec L.A.. A chaque fois que quelqu’un défend sur lui, il le mange, comme de la viande. »Si le niveau qu'il affiche depuis le début de la saison lui permet de dominer la plupart de ses vis-à-vis, LaMarcus Aldridge préfère quant à lui la jouer modeste.
« Cela signifie que les joueurs n’arrivent pas à défendre sur moi et je vais marquer à volonté », a réagi l'ailier fort de Portland avec sa timidité habituelle. « Ce n’est pas aussi simple que ça en l’air mais ils disent que ça a l’air si facile parfois. C’est bien mais je ne vais pas entrer là-dedans et je ne dirai pas ça moi-même. »Toujours est-il que malgré une prestation moins convaincante qu'à l'habitude de leur leader limité à 10 points à 5/13, les Blazers ont poursuivi jeudi leur marche en avant en dévorant les Bobcats grâce à une pluie de paniers à trois points. De quoi se mettre en bouche avant la suite de la saison et des playoffs où L.A. devra confirmer qu'il est vraiment devenu le cauchemar des intérieurs de la ligue.
I believe @Trobinson0 is yelling "lunch meat" every time Aldridge touches the ball against Josh McRoberts.
— Bruce Ely (@bruceely) 3 Janvier 2014