« Steven Adams sur la vie dans la bulle : ‘Soyons clairs : ce n’est pas la Syrie. Ce n’est pas si dur …. Nous vivons dans un satané resort. Tout le monde va se plaindre, chacun a ses préférences, rien de bien sérieux. »
Pourquoi Giannis Antetokounmpo refuse de se plaindre de la bulle L’intérieur du Oklahoma City Thunder n’est pas le premier à contredire ceux qui se plaignent de la vie dans la bulle. Jaylen Brown avait relativisé, soulignant qu’il y avait bien pire. Giannis Antetokounmpo également. Ja Morant avait fait savoir qu’il n’était pas né « une cuillère en argent dans la bouche ». Si les critiques n’ont bien évidemment pas été trop virulentes, c’est aussi et surtout parce que la ligue et la pression des pairs les ont en quelque sorte étouffées. A juste titre, car Steven Adams et les autres ont raison. Dans un pays aussi touché par le coronavirus ou par les combats sociaux à mener, des complaintes de joueurs très bien payés pour rester dans un resort pour faire du sport paraîtraient logiquement déplacées.Steven Adams on living in the bubble: "Let's be clear: This is not Syria. It's not that hard ... We're living at a bloody resort. Everyone is going to complain, everyone has their own preferences, nothing too serious. Just a bit of dry food here and there."
— Royce Young (@royceyoung) July 20, 2020