"Il fallait se battre pour remplir son assiette à la maison. Et puis, mon père nous obligeait à finir nos repas en entier à chaque fois, même si on en pleurait. Je crois que ça m'a aussi aidé à élargir mon estomac".Nick Collison, qui côtoie Steven Adams au quotidien, ne s'est toujours pas habitué à la gloutonnerie de son jeune coéquipier.
"Son métabolisme est complètement fou. Je le vois commander deux ou trois plats par repas, en toute décontraction, et ne pas grossir. Je crois que ce qui lui plaît le plus dans le fait de jouer en NBA, c'est de pouvoir s'offrir de la nourriture de vraiment bonne qualité !".Depuis le début des playoffs, ce sont les intérieurs adverses qui se font généralement croquer par le guerrier d'OKC, auteur d'une campagne de haut niveau alors que le game 6 contre les Warriors se profile.