" Goran Dragic a mis des 3 points, donc on a commencé à sortir sur lui et, forcément, il est allé dans la peinture. S'il prend des step back à 3 points, on peut faire avec. S'il en mets deux ou trois, on va changer de stratégie. Dragic est-il capable de mettre des shoots à 3 points ? Oui. Est-ce que c’est ce qu’on veut qu’il fasse au lieu de pénétrer ? Oui, et le jour où il est à 3/3 derrière l’arc, ils gagneront certainement, c’est comme ça que fonctionne le basket".Prenant le cas du Slovène pour exemple, Clifford a simplement expliqué qu'il faut faire en fonction de ce que l'on a en face de soi. Mais il ne s'est pas arrêté là et s'est transformé en professeur qui explique les bases de ce sport à de jeunes stagiaires en camp de basket.
"C'est aussi simple que ça. Si Dwyane Wade a un peu d'espace, il peut pénétrer face à n'importe qui. Et les jours où les autres mettent leurs shoots, alors il faut couvrir les deux. Vous voyez ce que je veux dire. Je ne veux pas vous manquer de respect, mais vous regardez les matches et vous allez dire qu'il faut changer quelque chose. Parfois, il faut juste mieux se concentrer sur les choses basiques, les fondamentaux. Jeff Van Gundy disait toujours : les journalistes adorent dire "ils se sont ajustés". Mais la plupart du temps, c’est juste un gars qui est passé de 1/8 à 6/8 au tir."Certainement sans Nicolas Batum pour le prochain match, c'est tout le collectif qui devra retrouver son assise défensive si les Hornets veulent retourner la situation lors des deux prochaines échéances à domicile.