« Nous avons l’avantage à chaque fois que Steph est sur le parquet. Les défenseurs adverses sont terrifiés quand il est là. Ils flippent dès qu’il se met à courir. Il met une telle pression… je n’aimerai pas affronter une équipe qui joue avec Stephen Curry. On sait tous ce dont il est capable. Ce gars là peut prendre le match à son compte n’importe quel soir », salue son coéquipier Draymond Green.Aucun joueur en NBA n’est défendu comme Stephen Curry. Aucun. Ce sont des prises-à-deux, des prises-à-trois. Parfois même quand il n’a pas le ballon. Ses paniers assassins sont tellement démoralisants que ses vis-à-vis préfèrent laisser un de ses camarades partir seul au cercle que de voir le double-MVP balancer une bombe à trois-points. Mais malgré ça, il score. Encore et encore. 41 points cette nuit. https://twitter.com/NBA/status/1389414495009783811 Dont 17 dans le premier quart temps, histoire de mettre sa formation sur les bons rails (39-21 en 12 minutes). Et quand les Pelicans sont revenus à trois longueurs (76-73), il est venu en remettre une couche pour faire grimper l’écart à +16. Cet homme est injouable. Encore plus depuis six semaines. Alors oui, Stephen Curry fait peur.
« C’est un peu comme si vous deviez faire un combat de rue avec Mike Tyson. Je pense que c’est la meilleure comparaison », explique Juan Toscano-Anderson à propos de l’effet provoqué par son leader sur les défenses adverses.Avec 37 points de moyenne en avril et 71 sur ses deux premières sorties en mai, le meneur continue sa série impressionnante. Personne ne peut l’arrêter, et surtout en ce moment. Les défenses n’ont pas fini de trembler.