"Il est celui qui me frustre le plus. En playoffs, quand il jouait à Portland, il m'a littéralement volé quatre ballons. Il m'a un peu désarmé et était absolument partout. Je n'ai pas réussi à comprendre comment le contourner", a expliqué Curry sur NBC Sports.Russell Westbrook, l’homme qui a calmé un Stephen Curry chaud bouillant Les noms qu'il a ensuite évoqués sont déjà un peu plus habituellement cités lorsque l'on pense à l'art de la défense.
"Jrue Holiday, Avery Bradley, Tony Allen quand il était encore en NBA... Ce sont des gars qui ont le truc pour se trouver toujours au bon endroit, au bon moment. Ils sont physiques, ont étudié ton jeu et connaissent tous tes moves. Je ne dirai jamais que j'ai peur qu'ils me stoppent quand je les affronte. Mais il est vrai que quand tu sais que tu joues contre eux, tu dois être plus dur et jouer un peu plus intelligemment. Il y a Pat Beverley et ses singeries avec lesquelles il faut composer aussi. Ces gars existent et sont payés pour défendre sur les meilleurs joueurs de la ligue".Si les Warriors parviennent à atteindre les playoffs, Stephen Curry sait déjà qu'il n'affrontera pas son frère, Jrue Holiday, Avery Bradley et Tony Allen. Les deux premiers jouent à Philadelphie et Milwaukee, donc à l'Est, le second porte le maillot des Rockets, qui n'iront pas en playoffs et le troisième est retraité. Il reste donc Patrick Beverley, que le double MVP croisera en cas de série entre Golden State et les Clippers.