"Je suis définitivement rentré dans sa tête", assure Johnson. "J’aimerais qu'il l’ouvre quand le match est à 0-0, pas quand il est à +16. Je pense que ça voudrait dire quelque chose, qu’il a confiance en lui, qu’il croit en ce qu’il dit. Qu’il ne parle pas après avoir mis deux tirs, tout le monde peut le faire", insiste t-il.Agacé, LeBron devait l'être un peu pour aller carrément bumper son chien de garde après un shoot longue distance. [html]
[/html] Mais le débutant des Detroit Pistons n'en a que faire et il ne s'arrête pas là. L'intrépide Stanley Johnson va même jusqu'à chambrer tout le banc des Cavs :LeBron James just punked Stanley Johnson. https://t.co/4zhyGLDolI
— Cavaliers Nation (@WeAreCavsNation) 21 avril 2016
"Il parle beaucoup. Il ouvre parfois la bouche, comme toute son équipe d’ailleurs, notamment les petites cheerleaders du banc. Chaque fois qu’on va dans le corner, ils sont là à dire des trucs comme s’ils jouaient, comme s’ils étaient sur le terrain. Il n'y a que 7 ou 8 qui jouent, du coup, je ne vois pas pourquoi les autres parlent. À mon avis, ils feraient mieux d’aller en tribunes."Et quand un journaliste lui demande pourquoi il n'a pas peur de James au contraire des autres, sa réponse est immédiate :
"Pourquoi devrais-je ? "On attend impatiemment de voir la suite au Game 3 mais pour l'instant, c'est bien LeBron James qui marche complètement sur les Pistons et ses Cavs mènent 2-0 avant de se rendre à Motor City.