« Nous n’avions pas prévu cela », avoue Van Gundy. « Quand on a eu la chance d’obtenir un arrière du calibre d’Avery, c’était un mouvement qu’il fallait faire. »
Le business avant tout. Même si rien n’a été simple, notamment sur ce cas précis. Stan Van Gundy semblait entretenir une relation très spéciale avec son désormais ancien joueur.« Il va me manquer personnellement », reconnait-il. « Dans ce travail, c’est le plus dur (trade) que j’ai eu à faire. Marcus était tout ce qu’on veut d’un joueur ici : il jouait dur, pensait à l’équipe. C’était un vrai pro, investi dans la communauté. C’est l’un des gars que j’ai préféré entraîner donc c’était très, très difficile. »
Une déclaration d’amour qui met donc un peu plus la pression sur Avery Bradley. Il va devoir être à la hauteur.