« Si je pouvais avoir un dollar à chaque fois que quelqu’un me demande ça, je pourrais financer un autre film. Non, non et non. Je ne peux pas faire ça. Impossible. Je suis un « orange and blue » baby. »Le fan le plus célèbre des Knicks en a profité pour évoquer le départ de Jeremy Lin, l'ancienne coqueluche du Madison Square Garden, mais qui reviendra sur les lieux de ses exploits en tant qu'adversaire, sous le maillot des Rockets. Et d'après Spike Lee, l'accueil risque de ne pas être des plus chaleureux.
« Il pourrait se faire buter. Pas personnellement, juste au basket. »Avec un recrutement judicieux, New York souhaite enfin franchir un palier pour redevenir une équipe compétitive au sein de la conférence Est. A 55 ans, Spike Lee espère que Big Apple renouera enfin avec son passé.
« J’espère que Carmelo Anthony a vu LeBron décrocher ce trophée de champion. Amar’e c’est mon gars. Mais je suis fatigué de lever les yeux vers ces vieilles bannières de champion. »Mais pas d'inquiétude. Que les résultats soient au rendez-vous ou pas, il restera un Knick for ever.
« Orange and blue. Mon fils sera orange et bleu, et son fils le sera après lui. Et ils m’enterreront avec ces couleurs… A Brooklyn. »