L’avantage unique qu’il y a quand on joue à Miami
« Je n’avais jamais eu de jolies femmes qui scandaient mon nom depuis les tribunes. C’était toujours des femmes de 55 ans ou des petites filles de moins de 10 ans. Mais maintenant, ce sont des jolies femmes. »
Le pire moment de sa carrière
« Mon année rookie. Perdre les 13 premiers matches. J’ai perdu plus de matches mes premières semaines en NBA que pendant 4 ans à l’université. J’ai plus perdu mes six premières semaines NBA que lors des huit années précédentes en université et au lycée. »
Ce qu’il a appris sur LeBron depuis qu’il joue avec lui
« Il est beaucoup plus humain que ses représentants marketing ne le laissent penser. Il a des défauts, des faiblesses comme tous les superhéros. »
Ce qu’il déteste le plus chez un coéquipier
« La réticence à l’effort. Le manque d’enthousiasme pour le succès de ses coéquipiers. Faire le strict minimum. »
Ses objectifs de carrière avant qu’elle ne démarre
« Je n’avais que deux objectifs. Jouer dix ans et partir avant qu’on ne me vire. C’est tout. Les victoires, les sélections dans les cinq défensifs (second cinq en 2008 et 2009 ndlr), c’est du bonus. Je ne suis pas surpris par mon succès, mais j’ai clairement réussi à aller plus loin que dans mes rêves. »
L’argent gaspillé le plus bêtement par des coéquipiers
« Oh, mon dieu, les chaînes. Les bijoux. Vraiment atroce. Les chaînes en platines avec des diamants. Ça me fait grincer les dents. »
Un athlète d’un autre sport qu’il pourrait payer pour voir
« Tiger Woods »
Ce dont il est le plus fier sur son CV de joueur.
« Demandez à mes coéquipiers. Partout où je suis passé, ils ont toujours dit que j’étais un bon coéquipier. J’aide beaucoup. »
Le coéquipier le plus dur qu’il ait eu
« LeBron ou Ron Artest. »
Le plus drôle
« Rafer Alston. »
Le meilleur leader
« Yao Ming. »