"Les affaires sont les affaires. Je l'ai dit dès le premier jour, même quand il était absent au début de la saison. Les gens me demandaient si j'avais l'impression que si Ben revenait, il devrait s'excuser auprès de nous. Mais non, je comprends le business. Il n'a pas besoin de s'excuser auprès de qui que ce soit. Quand il est sur le terrain, je sais qu'il va faire son travail et qu'il va faire ce qu'il fait. Je comprends donc le business. Il a fait ce qu'il pensait être le mieux pour lui sur le plan professionnel et personnel. Et l'équipe va faire la même chose pour ce qui est de faire des échanges ou autre chose. Donc je comprends, j'ai connu ça, je ne prends rien personnellement. Quand nous sommes sur le terrain, nous sommes des coéquipiers. Tout va bien. Et nous dépendons les uns des autres pour faire de bonnes choses. Il n'y a rien de négatif qu'il m'ait fait personnellement, donc ça va", a assuré Seth Curry face à la presse.Avec les exemples Ben Simmons et James Harden, les joueurs ont repris du pouvoir par rapport aux franchises. Mais pendant des années, et encore parfois maintenant, le comportement des dirigeants n'a pas été irréprochable. Et très souvent, la justification apportée était simple : "business is business". A force, les joueurs l'ont aussi compris... Quand Stephen et Seth Curry se défiaient étant gamins…
Seth Curry défend l’attitude de Ben Simmons avec les 76ers
Envoyé aux Brooklyn Nets avec Ben Simmons, l'arrière Seth Curry a pris la défense de l'Australien par rapport aux Philadelphia Sixers.
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