"J'ai un peu tremblé avant le début de mon premier match. Je me suis dit que je devais simplement jouer mon jeu et mettre toute mon énergie sur le terrain en étant agressif en défense et intelligent en attaque. J'ai réussi à le faire et après quelques minutes, la pression a complètement disparu", a-t-il raconté sur SB Nation.
Ce qui plait le plus à Lionel Hollins, de l'aveu même de l'ancien coach des Grizzlies, c'est le style très académique du Russe, dont le jeu est basé sur les fondamentaux et la lucidité, même s'il lui arrive à l'occasion de tenter des choses comme son modèle, l'Argentin Manu Ginobili.
"C'est mon joueur préféré. Lorsqu'il est arrivé aux Etats-Unis, on ne peut pas dire qu'il était vraiment célèbre. Mais à force de travail, il est devenu incontournable à San Antonio et a gagné beaucoup de titres. Il joue dur et avec une intelligence supérieure. C'est comme ça que j'aimerais pouvoir jouer, en m'améliorant chaque jour".
Malgré une inconstance chronique, les Nets devraient être capables d'accrocher l'un des derniers spots pour les playoffs à l'Est. Ce sera l'occasion de voir ce dont est capable celui qui était le plus jeune joueur des JO 2012 toutes sélections confondues dans un contexte encore plus compétitif.