Avdija a fini avec 9 rebonds, 4 passes (dont une cruciale pour Spencer Dinwiddie dans le money time), 2 contres et une interception en 27 minutes. Wes Unseld Jr aime lui faire finir les matches, notamment parce qu'il affiche un impressionnant sang froid et une faculté à prendre les bonnes décisions sous pression.Deni Avdija out here with the straps on Giannis Antetokounmpo 👀 pic.twitter.com/yNd1lE0YQo
— Hoop District (@Hoop_District) November 8, 2021
Bradley Beal with the pass out of the double team and Deni Avdija gets it over to Spencer Dinwiddie for 3 and the dagger pic.twitter.com/kGrJRogbFk
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"Que ce soit Giannis ou les joueurs de Memphis l'autre jour, j'essaye de les verrouiller. Les joueurs adversaires essayent de me cibler sur pick and roll. Il y a du trashtalk aussi, mais généralement ça s'arrête après le premier stop ou quand ils me voient défendre. Ils se calment très vite, soyez en sûrs. Je ne leur réponds pas verbalement, je leur montre sur le terrain", a expliqué le numéro 9 de D.C. devant la presse.La confiance de l'Israélien grandit jour après jour et le fait d'évoluer dans une équipe qui n'est plus dysfonctionnelle y est pour beaucoup. La circulation de balle et la cohésion que manifestent les Wizards ne peuvent que l'aider à grandir. Autre preuve de l'importance qu'il est en train de prendre à Washington, cette déclaration de Bradley Beal, le franchise player.
"Deni devient meilleur soir après soir. Il y a deux ou trois semaines, on a longuement discuté et je lui ai dit qu'il devait profiter de chaque moment, parce que les deux ou trois premières années en NBA te servent à apprendre. Il doit se mettre un challenge tous les jours et défendre sur des gars très forts à son poste. On lui demande beaucoup. Il doit jouer poste 3, 4, parfois 2, mais aussi être un facilitateur dans le jeu, tout en étant défensivement bon contre ses vis à vis. Il ne fuit pas du tout les responsabilités et il est solide. On l'adore. C'est mon gars et on va continuer de le pousser à devenir meilleur".Avoir la confiance du joueur autour duquel est articulé le projet est quand même une excellente chose. Les joueurs pris devant lui lors de la Draft n'excellent pas tous en NBA à l'heure qu'il est. Peut-être a-t-il démarré moins fort que LaMelo Ball ou Anthony Edwards, mais on commence à voir poindre le talent exceptionnel déjà entrevu avec son équipe nationale, lorsque Yam Madar (drafté par les Celtics) et lui-même, avaient permis à Israël de gagner deux fois de suite l'Eurobasket U20 en 2018 et 2019. Boston a peut-être trouvé son meneur : le Rajon Rondo israélien