« Avant le trade, je lui ai demandé (à Kyle Lowry) : 'Qu’est-ce que tu penses de l’équipe ?' Il m’a répondu ‘Si tu viens ici, on a une chance’. C’est ce qu’il m’a rendu à l’aise pour venir ici », a confié le nouveau Raptor à Stephen Brotherston de HoopsWorld.L’avantage pour Rudy Gay n’est pas seulement la présence d’un de ses amis les plus proches dans l’effectif, c’est toute l’équipe qu’il connaît déjà bien !
« Je connais Alan (Anderson), je connais Amir (Johnson). Je connais DeMar (DeRozan) et Kyle depuis un long moment et cela a rendu les choses plus faciles. Il n’y a personne ici qui ne soit pas le bienvenu. La transition a été facile pour moi. »On veut bien le croire sur parole. Sur ces deux premiers matches, le dunkeur fou et désormais ex-Grizzlies semble épris de liberté sur le terrain. On l’a vu scorer 20 et 29 points avec des pourcentages corrects depuis son arrivée. Et s’il devenait le franchise-player tant souhaité par Jerry West à Toronto ? En attendant, les Raptors (17-31) devront gagner une bonne poignée de matches pour « concrétiser le challenge » de Rudy et se qualifier pour les playoffs.