« Je fais plusieurs choses différentes qui sont assez uniques pour mon poste et ma taille, mais ce n’est pas tellement différent de ce que je faisais déjà à Iowa State. Je pense simplement qu’il y a plus de gens qui sont au courant maintenant », a-t-il confié à SlamOnLine.Déjà bien en jambes à Vegas, le rookie des Rockets n'a pas vraiment été surpris par ses performances et estime qu'il possède encore une importante marge de progression.
« Je n’ai pas été impressionné. J’ai eu deux matches au début je n’ai pas vraiment pu m’exprimer, mais ensuite j’ai joué trois matches où j’aurais pu réaliser un triple-double mais je n’ai pas réussi. Donc non, je pense que c’est bien. Mais je suis encore à un stade où je sens que je peux progresser. »Avec trois choix de draft au premier tour cette année (Jeremy Lamb (#12), Royce White (#14), Terrence Jones (#18)), Houston a fait peau neuve.
« En ce qui concerne la jeunesse de l’effectif, je pense que c’est une grande chance pour nous de grandir ensemble et c’est ce qui pourrait créer l’identité de l’équipe. »Victime de troubles de l'anxiété, l'ancien joueur des Cyclones avaient suscité de grands doutes avant la draft quant à sa capacité à pouvoir évoluer chez professionnels. Personnalité atypique, Royce White consacre une grande partie de son temps libre à l'écriture et il compte bien continuer à le faire maintenant qu'il est chez les pros.
« J’écris un peu de tout. De la musique, des films, des projets d’affaire (Rires). J’écris. C’est ce que je suis. Un écrivain. C’est quelque chose que je fais tous les jours. »