"Déjà, il faut savoir que j'ai hérité de ce problème parce que mon frère avait à moitié piétiné la mascotte des Pistons et que le gars était venu me chercher quand mon équipe est venue la fois suivante. Mais sinon, il y a bien un évènement qui me permet de retracer tout ça. Je devais être en CE2 ou en CM1 et je suis allé voir un match à Santa Clara. Il y avait Thunder, la mascotte des Warriors à l'époque. Il signait des autographes et m'a demandé mon nom. J'avais un trouble du langage, donc je lui ai répondu 'Wobin' au lieu de Robin. Il a marqué 'Robin, où est-ce qu'il y a un 'w' là-dedans ?' C'est là que tout a commencé".Et Brook Lopez d'ajouter :
"Thunder était un peu un bâtard. Il avait aussi signé la mienne en marquant : 'Brook ? C'est un nom de fille, non ?' Qui fait ça à des gamins ?"Robin Lopez a pris un peu plus à coeur cette vengeance au fil des ans et il est encore aujourd'hui en guerre ouverte avec la plupart des mascottes en NBA.