« La façon dont on communique et dont on s’entend sur le terrain, c’est hallucinant. Je n’avais pas connu ça depuis la fac », a-t-il expliqué à George Willis du New York Post. « Tout le monde s’entend bien, l’énergie et l’alchimie que nous avons me fait vraiment penser à celle que nous avions à l’université quand nous avons gagné le titre en 2005. »De bon augure pour la suite, surtout si les Knicks trouvent le moyen de réintégrer Amar’e Stoudemire à son retour de blessure sans que cela ne mette à mal le collectif actuel. Mais justement, ce sera alors à Felton de s’assurer que tout continue à bien se passer à ce moment-là. Mais la différence, par rapport aux autres équipes qu’il a connues, c’est que tout le poids du leadership à la mène ne repose pas uniquement sur ses épaules. Avec la rotation à trois meneurs de Mike Woodson, Felton peut compter sur ses partenaires pour l’aider dans cette tâche et même pour lui servir de mentor. C’est le cas en tout cas de Jason Kidd avec qui RayRay a développé une relation très étroite.
« Quand tu as des mecs qui ont un tel QI basket et qui ont passé autant de temps dans cette ligue, qui ont joué des gros matches et qui ont remporté des titres, ça te simplifie la tâche », raconte-t-il. « C’est super d’avoir Jason pour me dire comment mieux utiliser les pick and rolls, à quel moment le faire et aussi quand il faut utiliser ma vitesse ou au contraire poser le jeu. Il m’apporte beaucoup et il le fait avec tout le monde. En gros, c’est un mentor/coach/joueur, tu peux appeler ça comme tu veux mais il fait tout pour notre équipe. »Que Raymond Felton ne soit pas étonné si ses coéquipiers disent exactement la même chose de lui…