Dan Patrick : Tu pourrais encore jouer aujourd’hui ? Ray Allen : Oui.
Dan Patrick : Ça te dirait ? Ray Allen : Non […] Ce n’est pas parce que je pourrais le faire que ça veut dire que je dois le faire.
[…]
Dan Patrick : Et si LeBron t’appelait ? Ray Allen : A ce stade de ma carrière, il y a tellement d’autres facteurs qui rentrent en jeu. A mon âge, je ne peux pas simplement me pointer et jouer. Ça nécessite beaucoup de travail. Et puis, il faudrait que je joue vraiment. Etre sur le banc, en sortir, revenir s’asseoir, c’est ça qui te fait le plus de mal.
Dan Patrick : Donc si LeBron t’appelait, tu lui dirais juste « Merci, mais ça ne m’intéresse pas » ? Ray Allen : Oui. Enfin, il faudrait qu’on me fasse une offre folle rien que pour que j’y réfléchisse.
Dan Patrick : Et si LeBron te faisait une offre comme ça ou même qu’il te faisait une offre encore plus dingue ? Ray Allen : Alors, seulement, j’y réfléchirais.
Dan Patrick : Donc si je peux t’avoir huit millions pour une saison ? Ray Allen : Ça serait une belle somme d’argent mais…
Dan Patrick : Dix millions ? Ray Allen : Là on commencerait à y réfléchir.
Les probabilités sont au plus bas pour que les Los Angeles Lakers proposent à la fois à Ray suffisamment d’argent et de temps de jeu, mais l'idée de voir s'il serait encore capable d'enquiller les trois-points comme les perles serait bien kiffante.