"A partir du moment où ils ont fait ce premier trade et envoyé Marcin Gortat et Vince Carter à Phoenix pendant que je partais à Washington, c'est là que les choses ont commencé à aller mal. Tout était une question d'alchimie dans notre équipe. Les gens ont commencé à réclamer des choses, à vider leur sac en public plutôt que de le laisser au vestiaire".Sacrifié pour laisser leur chance aux plus jeunes Ryan Anderson et Brandon Bass (tous les deux partis depuis...), Lewis a mis du temps à se remettre de son départ pour Washington. Depuis DC, puis Miami, il a constaté impuissant les échecs de la direction floridienne : les arrivées peu concluantes de Jason Richardson, Gilbert Arenas et Earl Clark (finalement utile aux Lakers), le retour d'Hedo Turkoglu (suspendu par la suite pour usage de stéroïdes) et, bien entendu, le mélodrame entre Dwight Howard et Stan Van Gundy qui a mené au départ successif des deux hommes. Avant que le Magic ne redevienne compétitif, celui dont beaucoup avaient raillé le contrat gigantesque et déclaré qu'il était perdu pour le haut niveau aura vraisemblablement remporté sa première et dernière bague de champion.
Rashard Lewis évoque la déliquescence du Magic
Aujourd'hui role player à Miami, Rashard Lewis n'a pas oublié ses heures fastes au Orlando Magic. La déchéance de la franchise l'a touché.
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