"On a toujours eu comme politique de ne pas prendre plus de deux noirs dans l'équipe. Le coach Tomas Pacesas aime jouer avec des basketteurs noirs pour pouvoir les contrôler, leur enseigner des choses et être leur mentor. On a finir avec quatre joueurs noirs. D'un coup, ils se sont regroupés pour formés, comment dire, une sorte de gang. Je peux le dire de par mes 23 ans d'expérience dans ce business : ne prenez jamais plus de deux noirs par équipe, sinon de mauvaises choses vont arriver (il sourit)".
A vomir. Malheureusement, c'est probablement représentatif de ce que pense encore bien trop de monde en Europe.Les propos gerbants et racistes d’un président de club lituanien
Attention, sortez les sacs à vomi.
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