Le Power Ranking du 1er tour de la FIBA World Cup 2019

[caption id="attachment_460348" align="alignnone" width="1000"] FIBA BASKETBALL[/caption]

6- Brésil

Anderson Varejao, Leandro Barbosa, Marcelinho, Alex Garcia... On pouvait craindre que cette Seleçao peine à assumer l'âge de ses cadres, plus proche de la quarantaine que de la trentaine. Au lieu de ça, le Brésil s'est payé la Grèce et a parfaitement négocié ses rendez-vous face au Monténégro et à la Nouvelle-Zélande. L'énergie et la joie de vivre de ce groupe est communicative et le sélectionneur Aleksandar Petrovic, frère du regretté Drazen, est la star des conférences de presse de ce tournoi avec des punchlines et des avis pour le moins saignants. La belle histoire peut se poursuivre pour les Sud-Américains s'ils battent la République tchèque (spoiler alert : ils vont battre la République tchèque) et que la Grèce ne créent pas l'exploit face à Team USA. C'est en tout cas typiquement le genre d'équipes touchées par la grâce dont on n'a pas forcément envie de croiser le chemin dans une compétition comme celle-là...

5- Espagne

Notre meilleur ennemi est bien entré dans sa compétition. Malgré un groupe qui a connu des défections et des retraites ces dernières années, la Roja fait toujours le job. Dans ce 1er tour, sa solidité n'a pas été mise à rude épreuve contre Porto Rico, l'Iran et la Tunisie, mais il faut reconnaître que Marc Gasol, Ricky Rubio et leurs camarades ont négocié la chose avec beaucoup de sérieux. Sur le plan défensif, rien ne se perd chez les hommes de Sergio Scariolo, qui affichent le quatrième meilleur bilan défensif de ce Mondial. En cas de succès contre l'Italie vendredi après-midi, les quarts de finale leur seront ouverts. Il y aura tout de même avant un clash absolument immanquable avec la Serbie dimanche. Rubio, Gasol et Fernandez mènent bien leur barque, alors que Juancho Hernangomez assure joliment la transition avec la génération suivante.

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